Avec plus de 900 caves, Aubière conserve les traces d’une activité viticole autrefois importante sur le territoire. Ces caves aménagées à l’extérieur du bourg étaient parfaitement adaptées à la conservation du vin.
Aubière compte plus de 900 caves, sur une superficie de 3 hectares, destinées prioritairement à conserver le vin. Elles sont situées à l’extérieur du bourg à cause de l’affleurement de la nappe phréatique qui empêche leur aménagement sous les maisons. Elles sont creusées à flanc de coteau, la porte à l’aval, sur une profondeur variable de plusieurs mètres afin de réduire les escaliers et les manutentions. Elles sont voûtées, pour supporter le poids des terres qui les recouvrent. Ainsi enterrées, elles conservent une fraîcheur constante de 10°C et une forte hygrométrie, favorables à la conservation du vin. La ventilation des caves est assurée par un conduit d’aération débouchant à la surface.



Après l’arrivée du phylloxéra à la fin du 19e siècle, l’activité vinicole diminue drastiquement et de nombreuses caves sont reconverties pour l’affinage du fromage dont le Saint-Nectaire. Au sommet du quartier, se trouve un édifice en parpaing, l’ancienne fromagerie Savaron abritant un réseau de grande ampleur, sur plusieurs niveaux, créé par la mise en communication d’anciennes caves.



Aujourd’hui, des passionnés de l’Association pour la Sauvegarde des Caves d’Aubière (ASCA) s’investissent depuis plusieurs années pour les protéger. Aubière conserve deux autres sites de caves : les caves de la Croix de l’arbre, rue Pasteur sous le plateau des Cézeaux, et les Petites Caves, rue de Pérignat également sous le Puy d’Aubière.



Le Musée de la vigne et du vin, 24 avenue Jean Noëllet à Aubière, retrace l’histoire du vignoble de Basse-Auvergne et de son savoir-faire, de la plantation à la vinification.

La place des Ramacles tire son nom d’une histoire qui remonte au Moyen Âge jusqu’au 19e siècle, du temps des seigneuries à l’apogée de la viticulture.
Autrefois, Aubière est divisée en deux seigneuries, l’une appartenant aux comtes d’Auvergne et l’autre à l’évêque. L’enceinte du fort villageois, identifiable sur le cadastre, englobe le château et l’église. Ses vestiges sont encore visibles : au bout de la rue Voltaire (porte des Ramacles), place des Ramacles (fossés), place du Roudet (muraille), et un très curieux passage dit « trou d’homme » qui rejoint la rue Voltaire par l’impasse Beauvert.



Propriété du seigneur, les Ramacles étaient une vaste esplanade humide plantée de saules, aulnes ou peupliers, entre les remparts et l’Artière. Le baron d’Aubière, une fois l’an, autorisait les Aubiérois à « faire les remailles », c’est-à-dire tondre toute la ramure des saules ou aulnes. « Remaille » a donné remacle(s) puis ramacles, d’où la place des Ramacles.



Les maisons, construites contre les remparts sur la face nord de la place des Ramacles, n’ont aucun débouché sur la place. Au début du 19e siècle, pour un accès plus direct à leurs cuvages et caves, les propriétaires vignerons ouvrent leurs maisons côté sud en aménageant plusieurs ponts-escaliers. Ils sont construits sans autorisation municipale, par-dessus le bief du ruisseau, servant de lavoir, qui longe les murailles. À force de procédures, les propriétaires obtiennent en 1819 le droit de maintenir ces ponts, « à la charge de conserver les pierres des lavoirs pour le service public et d’en permettre et faciliter en tout temps l’usage par des abords commodes ». Plus tard, on leur donne le nom de « ramaclés ». Aujourd’hui, seuls quatre ramaclés subsistent.



Une fontaine commémorative est à signaler : la fontaine de l’amitié (1969), en souvenir du séjour des Américains du 55e régiment d’artillerie dans la ville, en 1918 (sculpteurs : Fernand Auteroche et René Fontanel).

Une balade très nature avec le point fort du plateau de Gergovie ; un condensé de curiosités, d’histoire et une belle leçon de géographie régionale pour les points de vue sans cesse renouvelés que nous offre son parcours.
À noter l’étonnant puy de Mardoux, curiosité géologique qui domine un paysage marqué par la civilisation de la vigne.

Départ : Parking près du square rue Marcel-Magard depuis la rue principale de la République / Romagnat

Difficultés : 400m de dénivelé depuis Pérignat ; 315m depuis Romagnat mais une montée progressive sans difficultés.

La maison vigneronne est le témoignage d’une activité autrefois prospère : la culture de la vigne. À partir de la seconde moitié du 19e siècle, elle évolue pour refléter la réussite économique et sociale du vigneron.
La maison vigneronne est le témoignage d’une activité prospère à Aubière et sur tous les coteaux de Limagne du Moyen Âge au 19e siècle : la culture de la vigne. Le territoire révèle deux typologies de maisons vigneronnes.



Le premier type correspond à la maison vigneronne traditionnelle implantée en centre-bourg. Étroitement bâtie, elle cumule dans la hauteur les locaux liés à l’activité et l’habitat : un cuvage pour le pressage, la fermentation et la conservation du vin au rez-de-chaussée, une pièce unique servant d’habitat au premier étage, accessible grâce à un escalier extérieur, et un grenier sous le toit.



Le second modèle de maison se développe dans la seconde moitié du 19e siècle, à l’apogée de la culture de la vigne. Il reflète la réussite économique et sociale du vigneron. Ces maisons dont le quartier de la rue Chambon propose une belle série sont désormais plus imposantes et gagnent généralement un étage d’habitation supplémentaire. Elles privilégient la pierre de Volvic pour les encadrements de fenêtres et portes, bandeaux de séparation des niveaux, corniches et chaînages d’angles. Elles sont dotées de balcons avec garde-corps en ferronnerie ou fonte. Elles sont également associées à des cours et des bâtiments techniques dénotant une certaine « professionnalisation » des lieux, tournés vers la production exclusive et importante du vin.



Le Musée de la vigne et du vin, 24 avenue Jean Noëllet à Aubière, retrace l’histoire du vignoble de Basse-Auvergne et de son savoir-faire, de la plantation à la vinification.

Hôtel 4 étoiles situé au pied du Plateau de Gergovie dans un cadre verdoyant de 9 hectares. Proche des axes autoroutiers (A75, A89 et A71). A proximité immédiate de la Grande Halle et du Zénith.
Label Clef Verte.
Chambres équipées de balcon ou terrasse, accès WIFI gratuit, mini bar, télévision écran LCD 32'', Canal + , coffre-fort individuel.
Terrasse lounge et restaurant bistronomique Le Gergovie.

Restaurant au charme d'antan, situé sur le plateau de Gergovie et offrant une vue dégagée.
Restauration du terroir et traditionnelle dans un site historique d'exception et un cadre panoramique à 15 mn de Clermont-Fd.
Lors d'une balade, venez craquer pour nos pâtisseries maison ou glaces dans un parc aménagé avec jeux pour enfants et terrasse ombragée.
Organisations de séminaires ou repas d'affaires, salle disponible à partir de 8 personnes jusqu'à 40 personnes (disposition en U). 120 couverts en 3 salles. Grand parking pour autocars et voitures.

Situé sur le plateau de Gergovie - véritable belvédère naturel sur l'Auvergne, ce musée nouvelle génération plonge petits et grands dans la Guerre des Gaules opposant Vercingétorix à Jules César. Il mêle objets archéologiques et outils multimédias.
Plus qu’une visite, le Musée Archéologique de la Bataille de Gergovie propose un parcours vivant et interactif. L’espace allie graphisme, maquettes, objets archéologiques et multimédias avec comme point d’orgue une salle audiovisuelle replongeant le visiteur dans l’ambiance de la Bataille de Gergovie opposant Romains et Gaulois.

Le parcours permet également de partir à la découverte de la civilisation des oppida arvernes, de percer les secrets archéologiques de Gergovie et de comprendre l’histoire naturelle et géologique du Plateau et des grandioses paysages qui l’entourent.

Le bureau saisonnier de Gergovie est situé sur le plateau de Gergovie, en contrebas du Musée Archéologique de la Bataille de Gergovie. Nos conseillers en séjours accueillent les visiteurs du 22 juin au 8 septembre.
L'entrée du bureau d'accueil est située à l'entrée du musée archéologique de la Bataille de Gergovie. Les portes sont ouvertes à tous, visiteurs du musée ou non.



Services proposés :

- Conseils personnalisés : randonnées, bons plans, hébergements touristiques, restaurants, événements, parcours en ville, patrimoine, sports et loisirs, visites, expositions, spectacles et autres manifestations.

- Langue étrangère parlée : anglais



Que voir ou faire autour du bureau d'information touristique saisonnier ?

Le plateau de Gergovie est un site archéologique emblématique de la Guerre de Gaules et de la victoire de Vercingétorix contre Jules César. Son histoire est à découvrir dans le musée archéologique de la Bataille de Gergovie, situé sur place.

Le plateau de Gergovie est aussi un site naturel de 70 hectares situé à une dizaine de kilomètres au sud de Clermont-Ferrand. Le sentier qui en fait le tour mène vers de beaux points de vue sur le puy de Dôme et la Chaîne des Puys – faille de Limagne, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, la montagne de la Serre, le puy de Sancy et le massif volcanique des monts Dore. Ce grand terrain d’évasion est propice aux balades à pied ou en VTT, au trail et au cerf-volant.

Chaos basaltiques en pleine nature
Au sud de la ville, entre les quartiers de La Fontaine-du-Bac et des Landais, ses origines volcaniques en font un lieu à part où pouzzolane, bombes volcaniques et ultimes coulées de lave émergent de la végétation. Ses quatre hectares de prairie vallonnée invitent à la promenade parmi noisetiers, conifères et autres rosiers. À découvrir sur place, le parcours d'orientation et les deux sculptures monumentales du Japonais Sato Saturo.
La Ville de Clermont-Ferrand possède 8 ruches dont 4 dans le parc du Creux de l'Enfer.
Depuis 2010, la Ville et l’Unaf (Union nationale de l’apiculture française) sont liées par une convention pour l’installation, le suivi et l’exploitation des ruchers. Par ce partenariat, la Ville s'engage dans l'opération «Abeille, sentinelle de l'environnement» afin de sensibiliser les Clermontois au rôle essentiel des abeilles dans le maintien de la biodiversité. En 2016, la Ville a obtenu le labelAPIcité®, grâce à sa politique locale en matière de protection des pollinisateurs.
Ce parc possède également le label Refuge LPO.

Site bien connu de l’agglomération clermontoise, le puy de Montrognon et sa tour en ruine dominent les villes de Beaumont, Ceyrat et de Romagnat.
Ses pentes abritent diverses espèces de plantes et d’insectes d’origine méditerranéenne dont de nombreuses orchidées, protégées par le réseau européen Natura 2000.

Du haut de ses 699 mètres d’altitude, le sommet du Montrognon offre un agréable point de vue sur Clermont-Ferrand, la plaine de la Limagne et la chaîne des Puys.

La randonnée “les vestiges de Montrognon” vous fera découvrir le puy et sa tour du XIIe siècle.

Accès :
- Accès routier : depuis Clermont-Ferrand, prendre la direction de Ceyrat. Traverser la N89 après le centre omnisports puis monter dans le lotissement situé sur les pentes du Montrognon. Un stationnement est possible au sommet : la fin de l'accès s'effectue à pied.
- Accès pédestre : depuis le parking au sommet du lotissement, prendre le chemin goudronné montant vers le sommet (derrière la barrière métallique)

Site protégé, les coteaux secs de Cournon d’Auvergne formés par le plateau des Vaugondières et le sommet du puy d’Anzelle abritent un écosystème remarquable résultant d’une longue histoire agricole et d’un microclimat d’abri.
Au nord de Cournon-d’Auvergne, le plateau des Vaugondières et le sommet du puy d’Anzelle constituent un espace naturel d’environ 50 hectares protégé par un arrêté préfectoral de protection de biotope depuis 1992 et inscrit dans le réseau Natura 2000. Ce réseau exprime la volonté de l’Union Européenne de préserver des sites naturels ou semi-naturels ayant une grande valeur patrimoniale, par la faune et la flore exceptionnelles qu’ils contiennent. La richesse animale et végétale du site résulte d’une longue histoire agricole et d’un microclimat d’abri. Le site est surveillé et géré par la Ligue de Protection des Oiseaux.





Une histoire agricole particulière



À la fin du 19e siècle, le plateau est couvert de vigne. Le phylloxéra et le mildiou contraignent les paysans à arracher les ceps de vigne. Ces derniers cèdent la place à des pelouses où viennent paître les moutons. S’installent alors une faune et une flore caractéristique des pelouses sèches. Entretenues par les moutons jusqu’en 1960, les pelouses sèches sont aujourd’hui préservées par l’homme pour éviter la colonisation des arbustes et des broussailles.





Un petit coin de Provence à Cournon-d’Auvergne



Le secteur bénéficie d’un microclimat d’abri dû à un effet de Foehn. Les nuages étant freinés par les reliefs des massifs du Sancy et des Puys, les précipitations sont faibles mais sont également rapidement absorbées par un sol marno-calcaire. Cela conjugué à l’orientation sud des coteaux favorise une ambiance climatique plus chaude. La flore mais aussi la faune sont ainsi caractéristiques des régions méditerranéennes. Près de 270 espèces de fleurs ont été recensées, dont certaines sont protégées pour leur rareté. 54 espèces de papillons diurnes, et près de 30 oiseaux nicheurs ont aussi été répertoriées.

Le puy d’Aubière labellisé “Espace Naturel Sensible” constitue un écrin de verdure et un lieu de promenade au sud de la ville d’Aubière.
Le puy d’Aubière nous offre 98 hectares de verdure, de faune et de flore riches, du haut de ses 466 mètres d’altitude. En effet, pas moins de 229 espèces botaniques dont différents types d’orchidées. 158 espèces de petite faune cohabitent au sein de cette grande étendue verte.



Outre la biodiversité très développée, on retrouve sur le site les vestiges de l’activité viticole qui a pris place sur les coteaux jusqu’au XIXe siècle.

Au pied du puy, dans le quartier des caves, des tonnes à vin servaient à entreposer les outils des vignerons et les anciennes caves conservaient vin et fromage.



Petite particularité, 11 espèces de chauves-souris peuplent les caves et sont régulièrement recensées.



Accès :

- En bus : Arrêt Aubière place des Ramacles, ligne 3.

L’origine de la Châtaigneraie remonterait au XVIème siècle. Avec sa présence de vieux boisements de châtaigniers, cette forêt est d'autant plus remarquable que rare dans le Puy-de-Dôme.
Sa labellisation “Espace Naturel Sensible” permet à la commune de Beaumont de préserver ce site durablement.



La Châtaigneraie est riche en faune et en flore, on y compte 195 espèces végétales différentes et diverses espèces de la petite faune :

- 55 espèces de papillons de jours,

- 101 espèces de coléoptères dont 18 espèces bio-indicatrices de la qualité des forêts françaises,

- 38 espèces d’oiseaux.



Accès : rue de la Châtaigneraie, puis sentier de la Châtaigneraie.

Le Plateau de Gergovie, oppidum arverne, est un belvédère unique sur les volcans d'Auvergne, la Limagne des Buttes, le bassin de Clermont-Ferrand,
Situé à une dizaine de kilomètres au sud de Clermont-Ferrand, sur la commune de La Roche-Blanche, le site de Gergovie se présente sous la forme d’un vaste plateau de 96 hectares. Résultat d'une inversion de relief à partir d'une coulée issue de la chaîne des Puys, ce belvédère naturel d’une hauteur de 744 m domine l’agglomération clermontoise et les plaines environnantes.
Au Ier siècle avant notre ère, le plateau de Gergovie était un vaste oppidum, place forte qui réunissait habitat, fonctions défensives, politiques, économiques et religieuses. Depuis plus de 2000 ans, l’unique défaite de Jules César durant la Guerre des Gaules assure sa renommée.

Visitez une forteresse au pied du plateau de Gergovie avec de magnifiques jardins en terrasse.
Forteresse qui commande le col où passait la voie romaine de Clermont au Puy-en-Velay, sa construction primitive date de la fin du XIe siècle. Bâti autour d’une cour intérieure, le logis est flanqué de cinq tours dont trois subsistent de nos jours. Au XIIIe siècle, un donjon carré a remplacé une des tours d’angle.
En 1613, Antoine de Ribeyre, Trésorier de France, devient propriétaire du château et il effectue des travaux considérables dans le goût de l’époque. Il crée une entrée d’honneur et un escalier intérieur ainsi que de larges fenêtres à meneaux qui donnent clarté et élégance à cette forteresse, autrefois si austère. Au sud, dans le style de Le Nôtre, il fait aménager deux jardins en terrasse, l’un avec un grand bassin circulaire et l’autre avec une fontaine Renaissance attribuée à Androuet du Cerceau.
Plus près de nous, de juin 1940 à juillet 1941, le Général de Lattre de Tassigny, futur Maréchal de France, a séjourné dans cette demeure. Après avoir participé à la Bataille de France, il s’y installe et crée une école de cadres destinée à former des chefs militaires en vue de la reconquête du pays.

La visite permet de découvrir un lieu de mémoire, installé à la base du donjon, qui retrace l’épopée auvergnate du Maréchal de Lattre de Tassigny ; puis deux salons, l’un agrémenté de son mystérieux oratoire, par lequel on accède aux deux terrasses aménagées à la française, principales caractéristiques de la propriété.

Accès :
- En bus : Arrêt Romagnat Opme, terminus de la ligne 27.
- En voiture : stationnement possible rue Maréchal de Lattre de Tassigny à quelques mètres du château.

Beau jardin arboré de 5 hectares, en plein centre-ville de Clermont-Ferrand.
Les travaux d’aménagement de ce jardin, commencés en 1863, sous l’égide de Henri Lecoq, professeur de minéralogie et de botanique, se sont achevés en 1909.

D’une superficie de 5 hectares, c’est aujourd’hui un bel espace vert au cœur de la ville, orné d’une vaste pièce d’eau, d’une roseraie et de groupes sculptés. Dans l’axe de la passerelle est placée la porte du château de Bien-Assis, seul vestige de la demeure familiale de Blaise Pascal.



Mobilité douce : Station de tramway "Universités" et arrêts de bus "Sablon Lafayette" et "Universités" aux abords du parc (lignes de bus B, C, 3,4, 8, 9, 10, 12, 13, 27). Station c-vélo cours Raymond Poincaré.

Dans l’hôtel particulier en pierre de Volvic d’Henri Lecoq, admirez le patrimoine naturel de la région et les riches collections du muséum.
Partez à la découverte de l’histoire des sciences à travers des objets prestigieux, témoins des travaux de Pascal, de Lavoisier et de Pasteur.

Le plus ancien des musées de Clermont-Ferrand compte près de 650.000 objets et spécimens. Ils témoignent des différentes spécificités : botanique, géologie, minéralogie, paléontologie, zoologie, patrimoine écrit et graphique et histoire des sciences et techniques.

Centre de documentation, avec un fond original sur les sciences d’environ 14.000 titres.



Mobilité douce : Bus T2C, arrêt "Sablon Lafayette" à 250 m (lignes de bus B, C, 3,4, 8, 9, 10, 12, 13, 27). Station c-vélo place Renoux.

Bâtiment néoclassique inauguré en 1903 au cœur de la ville, le musée Bargoin propose des collections particulièrement riches et originales, d'archéologie locale et de textiles extra-européens.
Les collections du Département Archéologie rassemblent pour l’essentiel des découvertes réalisées dans le bassin clermontois et, plus généralement, le département du Puy-de-Dôme. Leur présentation, renouvelée en 2016, permet d'esquisser l’histoire des sociétés qui se sont succédé en Basse Auvergne. Le parcours d'exposition est organisé de manière chronologique, de la Préhistoire à l’Antiquité gallo-romaine.

Le département Textile rassemble un large panorama de textiles extra-européens allant du XVIIIe au XXIe siècle, présenté sous formes d'expositions temporaires.

Au-delà des textiles d'exception et des pièces archéologique, c'est surtout l'être humain qui est mis en valeur : celui qui crée, vit et transmet.



Mobilité douce : Bus T2C, arrêt "Sablon Lafayette" à 300 m (lignes de bus B, C, 3,4, 8, 9, 10, 12, 13, 27). Station c-vélo place Renoux.

Puzzle Live est un collectif constitué de musiciens professionnels instrumentistes et compositeurs à l'esthétique classique : Vincent Venries, (violon), Philippe Goi (Mao), Béatrice Berne (Clarinette) et Sylvie Cagnioncle (violoncelle).
Ils performent souvent dans des expositions, des spectacles dansés et des happenings visuels. Ils ont invité le guitariste et chanteur Ameyes Aït-Oufella (guitare et chant) sur une proposition du FITE, pour une première création expérimentale dans l’exposition Imagine ! afin de proposer une expérience de visite à double sens pour vos yeux et vos oreilles ! Pour ce dernier jour de l’exposition, ils jouent (enfin!) au musée !

L'Artière, constituée à Ceyrat de deux cours d'eau, prend sa source au Nord de Saint-Genès-Champanelle, près du puy de Chatrat, vers 900 mètres d'altitude.
Après avoir creusé les gorges de Ceyrat, elle traverse les communes de Beaumont, d'Aulnat et termine sa course aux Martres-d'Artière pour se jeter dans les eaux de l'Allier.



Les gorges ont été creusées par l’Artière dans un plateau granitique. Un sentier de randonnée balisé permet de découvrir les gorges de Ceyrat creusées par l'Artière. Le long de cette promenade, vous découvrirez le Dolmen de Samson ainsi qu'une petite cascade.



Accès :

- En voiture : A la sortie sud du bourg de Ceyrat; parking à hauteur du pont sur l'Artière; direction "St-Genès-Champanelle"

- En bus : ligne 4; arrêt "Robinson".

Hôtel particulier du centre historique de Clermont.
Cet hôtel particulier fut construit dans l'ancienne rue des Nobles pour Charles-Antoine de Chazerat, dernier intendant d'Auvergne. Il s'ouvre sur une remarquable cour intérieure ovale, scandée de pilastres cannelés. Le salon d'honneur blanc et or est orné de gypseries. Il ouvre sur un jardin. Le vestibule est peint en trompe-l'oeil. L'ensemble constitue le plus beau témoignage de l'architecture néoclassique du XVIIIe siècle en Auvergne. Il abrite la Direction régionale des Affaires culturelles.
Au programme des visites guidées de l'Office de Tourisme, sous la conduite de guides conférenciers agréés par le ministère de la Culture.

Mobilité douce : T2c, tram A, arrêts Delille et Hôtel de Ville à moins de 500 mètres.

Cet espace d'exposition semi-permanent propose des clefs de lecture et d'interprétation de Clermont-Ferrand, de son patrimoine, de son histoire, de son architecture.
Clermont-Ferrand est la rencontre entre un territoire et des populations. Son histoire est très ancienne, puisqu'elle débute à la Préhistoire, en constante mutation, elle poursuit son évolution.
L'Espace Patrimoine traduit ces échanges entre le passé, le présent et l'avenir pour favoriser une meilleure connaissance de la ville d'aujourd'hui et mieux appréhender les évolutions sociales et urbaines du territoire.
Cet espace d'exposition semi-permanent propose des clefs de lecture et d'interprétation de la ville, de son patrimoine, de son histoire, de son architecture.

Tram : Jaude ou Hôtel de Ville. Bus : B arrêt Ballainvilliers

L'Office de Tourisme de Clermont-Ferrand est au cœur du centre historique, juste à côté de la cathédrale. Nos conseillers en séjours accueillent les visiteurs tout au long de l'année, 7 jours sur 7.
Services proposés :

- Conseils personnalisés : bons plans, hébergements touristiques, restaurants, événements, randonnées, parcours en ville, patrimoine, sports et loisirs, visites, expositions, spectacles et autres manifestations.

- Boutique : nombreux souvenirs régionaux, en favorisant au maximum la production locale, du miel au porte-clé Michelin, en passant par des bijoux, cartes postales, couteaux de Thiers, livres sur les volcans, topoguides...

- Billetterie : visites guidées, animations, sites touristiques, spectacles et sport.

- Label Accueil Vélo

- Espace wifi gratuit

- Langues étrangères parlées : anglais - allemand - espagnol



Que voir ou faire autour de l'Office de Tourisme ?

Le centre historique, situé sur la butte de Clermont-Ferrand, se déploie autour de la cathédrale gothique en pierre de lave. Terrasses de cafés et restaurants côtoient boutiques d’antiquaires, brocanteurs, galeries d’art contemporain, bouquinistes et monuments historiques comme la basilique romane Notre-Dame-du-Port, inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO au titre des chemins de Saint-Jacques de Compostelle.

Comme dans la plupart des villes européennes, l'Art Nouveau apparaît à Clermont-Ferrand au début du XXe siècle.
En témoignent des immeubles de rapport et de beaux exemples de ferronneries de la famille Bernardin.
On peut citer l’immeuble du 45 avenue Franklin-Roosevelt ou celui du 10 rue de Ceyrat.
Remarquables sont les décors complexes de la maison-atelier des Bernardin au 30 rue Eugène-Gilbert et la grille d’entrée de leur autre atelier au 43 boulevard Pasteur.
L'Art Nouveau a connu de belles applications dans l’architecture commerciale.
Deux exemples : la confiserie de la place Royale, vers 1902, et celle de la Boulangerie Moderne de la rue du Port, vers 1905.

Au milieu des années vingt, l’Art Déco fait fureur. Sont à découvrir les immeubles de Marius Lanquette avenue Julien n°s 17, 36 ou 47, celui qu’Ernest Pincot construit en 1933 au 33 de la rue Montlosier, orné de grès émaillés à décor géométrique bleu, et la pharmacie Art Déco de la place de la Fontaine à Montferrand.