Chambaron sur Morge est une commune de 1820 habitants, composée de 4 bourgs : La Moutade, Cellule, Pontmort et Saulnat.
Située à 6 kms au nord de Riom dans la plaine de la Limagne elle est traversée par deux cours d'eau Le chambaron et La Morge. De nombreux chemins accessibles par tous, vous permettront de réaliser plus de 50 kms de marche facile où vous ne rencontrerez pas ou peu de dénivelé. Le mont DIU vous offrira une vue à 360° et une belle appréciation de la chaine des puys. La vie associative y est importante puisque à ce jour la commune compte 22 associations qui proposent ainsi de nombreuses et différentes manifestations chaque année. Les installations sportives sont situées sur les bourgs de Cellule et de La Moutade ainsi que les salles des fêtes.

Deux restaurants vous accueilleront, ''La grotte de l'ours'' sur le bourg de Cellule et '' Le Caveau du Fort'' sur le bourg de La Moutade.

comment y accéder :
- de Riom par la D2009
- en train avec un arrêt en gare à Pontmort

Une sympathique commune où il fait bon vivre.

Découvrez Saint-Bonnet-près-Riom se situe au nord de Riom sur une terrasse dominant le vallon du Sardon, au cœur d’un terroir fertile voué à la vigne et aux céréales : le Pays Brayaud.
Construit sur une terrasse dominant le vallon du Sardon, le bourg vigneron de Saint-Bonnet-près-Riom s'est développé autour d'un prieuré fortifié dépendant de l'abbaye de Mozac. La vigne est cultivée sur les coteaux de Madargue. Le village présente un bel ensemble de maisons vigneronnes, de lavoirs et de pigeonniers. Le Gamounet (38-40 boulevard de la République), ancien relais de poste est devenu "Maison des cultures de pays" animée par l'association "Les Brayauds". Maquettes tactiles.

Eglise Saint-Bonnet XIIème, XVIème et XIXème siècles, retable du XVIIème siècle "Adoration des bergers" de Guy François XVIIème siècle.
Visites guidées de l'église, du bourg et du "Gamounet". Circuit découverte sur demande. Groupes toute l'année sur rendez-vous.

Superficie de la commune :4,63 km²
Altitude : 314m (mini) - 350 (max)
Population : 685 habitants (selon INSEE en 2022)
Habitants : Auchétaires
Il était une fois le Cheix sur Morge

L’occupation du territoire est ancienne. Des fouilles archéologiques permettent de penser que l’occupation du territoire remonte à l’époque préhistorique. En 1924, sur la rive droite de la Morge tout près du moulin, deux souterrains comportant des salles et galeries, ainsi qu’une tombe (datant du IIème ou IIIème siècle) ont été explorés. Un fragment de crâne et des céramiques ont été découverts.

La commune porte le nom du Cheix depuis 1800. Les sources écrites permettent notamment de connaitre l’évolution du nom du territoire :
• Le Chier en 1559
• Au chier en 1669
• Le Chay au XVIIIème siècle
Le nom « chier » signifie en auvergne lieu fortifié.

Avant la Révolution il n’existait pas de commune et le premier niveau d’administration était la paroisse, qui se composait principalement de l’église, des maisons autour et des terres agricoles. Ces paroisses ne disposaient pas des compétences des communes actuelles.

Le Cheix, La Moutade, Cellule, Pontmort et Saulnat ne formaient qu’une seule commune. C’est en 1869 que Le Cheix et La Moutade se séparent de ce groupe pour devenir chacune commune indépendante.

A cette époque, le bâtiment « mairie » n’existait pas. D’après les registres des conseils municipaux, on lit que le conseil se réunissait au lieu habituel des réunions. On peut supposer qu’il s’agissait du domicile du maire ou d’un lieu loué à cet effet.

En 1882, le conseil municipal délibère sur la construction d’une mairie école de garçons (école actuelle), l’école de filles étant située dans l’immeuble Taragnat (ancienne mairie).

En 1919, réunification des deux écoles à l’école de garçons. Le bâtiment ainsi libéré devient la première agence postale du Cheix.

En 1975, il est décidé de déplacer la mairie dans cet immeuble avec l’agencement suivant :
• Au rez de chaussée : salle de réunion du conseil municipal et de mariage.
• Au premier : secrétariat de mairie et bureau du maire.

En 2013, installation de la mairie et de l’agence postale communale dans la bâtisse se situant 9, rue de Paris.

Ce jardin est le seul espace vert public de Riom situé à l'intérieur du périmètre délimité par les anciens remparts. Une allée circule autour d'une pelouse avec bassin. Le chevet de la Sainte-Chapelle et le palais de justice ferment le jardin au nord.
Jardin paysager aménagé au XIXème siècle à l'emplacement des anciennes prisons du château. Il est le seul espace vert public de Riom situé à l'intérieur du périmètre délimité par les anciens remparts. Une allée circule autour d'une pelouse avec bassin. Le chevet de la Sainte-Chapelle et le palais de justice ferment le jardin au nord. La statue de Michel de l'Hospital, dominant le jardin, est l'œuvre du sculpteur Eugène Solier et porte la date de 1881.
Arbres remarquables.
Il est particulièrement bien fleuri au printemps. La ville de Riom a obtenu une 3e fleur en raison de la qualité de son fleurissement.
Le parc est fermé en cas d'intempérie.

À travers une collection de plus de 4 000 objets, le musée régional d'Auvergne présente l'Auvergne rurale du XIXe siècle, mais se veut aussi miroir du territoire et des habitants d'aujourd'hui.
Inauguré en 1969, ce musée est l'un des derniers à témoigner de ce qu’avaient imaginé, dans une France en pleine mutation, les historiens, muséographes et ethnologues des années 1930-40.

Il a pour modèle le Musée national des Arts et Traditions Populaires.
Conserver pour transmettre, telle était l’idée retenue par les fondateurs qui mirent plus de 10 ans à réunir les pièces qui constituent aujourd'hui ses collections.
Une présentation volontairement dépouillée met en valeur des objets choisis pour leur rôle évocateur de savoir-faire et de modes de vie aujourd’hui souvent disparus (outils agricoles, habitat, mobilier, costumes et coiffes, instruments de musique et ensemble d’art religieux populaire) plutôt que pour leur qualité esthétique cependant réelle.

La vie agricole y occupe une large place : travaux des champs, élevage, apiculture, chasse, pêche, viticulture, de même que différentes formes d’artisanat : dentelles et chapelets, filage, tissage, taille de la pierre, poterie, vannerie.
La salle commune d’une maison donne un exemple de l’habitat d’autrefois ; mobilier, vaisselle, luminaire, évoquent la vie domestique.
Naissance, mariage, veuvage, ainsi que jeux, musiques et fêtes religieuses témoignent des différents moments de la vie à travers une très belle collection de statuaire mais aussi de costumes et de bijoux.

L’œuvre contemporaine de Jean-Paul Marcheschi présentée dans l’entrée, témoigne du regard que porte le musée sur le monde d’aujourd’hui.

La ville de Riom, ancienne capitale royale d’Auvergne, est construite autour de la collégiale Saint-Amable.
Riom s’est développée sous l’influence des princes Alphonse de Poitiers et Jean de Berry grâce aux foires et marchés. Riom, siège des différentes juridictions royales, devient une ville florissante comme en témoignent les riches demeures aux décors sculptés.

1 - Cour d’appel.
2 - Sainte-Chapelle - Jardin de la cour d’appel.
3 - Musée régional d’Auvergne.
4 - Musée Francisque-Mandet.
5 - Hôtel de ville (n° 23) installé dans l’ancien hôtel Amable de Ceriers (XVIe siècle).
6 - Maison à pans de bois (XVe siècle) et en face, la maison dite des consuls
(XVIe siècle).
7 - Tour de l’Horloge.
8 - Hôtel Guymoneau (n°12) (XVIe siècle).
9 - Église Notre-Dame-du-Marthuret.
10 - Place Félix-Pérol où se trouvaient les anciennes tanneries de Riom. Au n° 11, la maison dite d’Antoine Pandu (XVIe siècle).
11 - Fontaine d’Adam et Ève (XVIIe siècle) et la maison dite de l’artisan (XVIe siècle).
12 - Fontaine Balainvilliers (1764 ) - Basilique St-Amable - Ancienne halle aux blés.

Musée abritant des œuvres datant de l'Antiquité au XXIème siècle.
À découvrir absolument le Département Design et Arts Décoratifs Contemporains.
Créé en 1866, le musée Mandet, est installé dans deux anciens hôtels particuliers des XVIIème et XVIIIème siècles. Ces deux bâtiments renferment environ 6 000 pièces, peintures, sculptures et objets d’art, de l’Antiquité au XXIe siècle.
Au rez-de-chaussée du premier bâtiment, restauré en 2011, se déploie le département Design et Arts décoratifs contemporains composé de pièces d’orfèvrerie, de céramique et de verrerie contemporaines, de 1950 à nos jours. Ainsi sont exposées, dans une scénographie résolument contemporaine, des œuvres d’artistes et designers de renommée internationale : Ettore Sottsass, Andrea Branzi, Jean Nouvel, Goudji, Gaë Aulenti, Olivier Gagnère ...

La Tour de l'Horloge, siège du Pays d'art et d'histoire de Riom Limagne et Volcans, est classé Monument Historique depuis 1862. Témoin privilégié de l’histoire de la ville, elle a traversé les siècles qui lui ont donné sa silhouette actuelle.
Ancien beffroi, reconstruit à la Renaissance sur sa base médiévale (1391).

Tour octogonale avec cadran d'horloge, écusson bûché, collier de l'ordre de Saint-Michel et salamandre de François 1er. Le Dôme date de 1785.



Lieu d'exposition présentant le patrimoine riomois et le territoire, maquettes tactiles et plan relief du centre ancien. Profitez de la vue panoramique avec table d'orientation au sommet de la Tour !

Visites guidées en saison. Accès aux bâtiments des tanneries uniquement lors des visites guidées programmées par l'Office de Tourisme.
Son origine remonte à l'époque gallo-romaine. Bourg rural et commerçant, Maringues est une ville ancienne occupant un site défensif, aux ruelles concentrées sur la hauteur que coiffe l'église, ancien prieuré de la Chaise-Dieu fondé au XIe siècle. L'artisanat de la tannerie, implantée dés le XIIIe siècle, y était jadis très florissant. Les anciennes tanneries confèrent aux rives de la Morge un cachet pittoresque avec leur pilotis, leurs étages à balcons et leurs séchoirs de bois.

Cet édifice est le plus grand du diocèse après la cathédrale de Clermont-Ferrand et abrite des objets d’art exceptionnels comme le maître-autel, la châsse de saint Amable ou encore les boiseries de la sacristie.
Cet édifice composite est situé à l'emplacement d'une première chapelle érigée par saint Amable en 450 dont les reliques font l'objet d'une procession annuelle en juin.
Seules les trois nefs sont d'origine romane, le chevet à déambulatoire a été édifié dans le style gothique au XIIIème siècle. Vous remarquerez le très bel autel en marbre du XVIIIème.
Ouverture de la sacristie et visites dans le cadre des Fêtes de la Saint-Amable d'été en juin et de la Saint-Amable d'hiver en octobre.
Procession traditionnelle en juin (châsse de saint Amable et roue de fleurs).

Capitale administrative des Terres royales d'Auvergne dès le XIIIème siècle, Riom, ville centre du Pays d'art et d'histoire de Riom, est classé secteur sauvegardé et ne compte pas moins de 16 monuments classés et 57 inscrits à l'inventaire supplémentaire.
Son exceptionnel patrimoine, témoin des riches périodes du Moyen-Age, de la Renaissance et du XVIIIème, compte de nombreuses maisons et hôtels particuliers, des fontaines et des façades remarquables, ainsi que la cour d'appel, la Sainte-Chapelle, sans oublier l'hôtel de ville et surtout la tour de l'Horloge, siège du service du Pays d'art et d'histoire de Riom Limagne et Volcans, lieu d'exposition permanent et véritable belvédère sur la ville.

Exemple le plus septentrional du gothique languedocien, cette église recèle des trésors comme la célèbre Vierge à l’oiseau ou le vitrail de l’Annonciation.
De style gothique languedocien, elle a été édifiée à partir de 1308 puis remaniée et agrandie au XIXème siècle. Le portail néogothique porte une copie de la Vierge à l'oiseau dont l'original, polychrome, datant de la fin du XIVème siècle, est conservé à l'intérieur. Elle fut sauvée à la Révolution par la corporation des bouchers qui la cachèrent dans une cave. Maquette tactile de l'église (2016).

Jardin paysager aménagé vraisemblablement sous le Second Empire. Bassin traversé par un pont. Buste de Pierre de Nolhac par Paulin.
Arbres remarquables. Riom a obtenu une 3e fleur en raison de la qualité de son fleurissement.

1910-1912, édifiée d'après les plans de l'architecte Marius Toudoire, auteur de la gare de Lyon à Paris, la gare fut inaugurée par Etienne Clémentel, maire de Riom.
Ce vaste bâtiment aux élégantes marquises en fer et verre abrite aujourd'hui le Centre culturel La Mouniaude.

Édifiée d'après les plans de l'architecte Marius Toudoire, auteur de la gare de Lyon à Paris, la gare fut inaugurée par Étienne Clémentel, maire de Riom. Ce vaste bâtiment aux élégantes marquises en fer et verre abrite aujourd'hui le Centre culturel "La Mouniaude".

Maisons de campagne construites au XVIIIe siècle par des notables à proximité de Riom, elles sont indissociables de l’idée de villégiature. Elles sont entourées de parcs où l’eau est bien souvent mise en scène.

Pour rejoindre le point d'intérêt suivant, continuez sur le sentier, en longeant de hauts murs, puis le bief de l’Ambène.
A la sortie du chemin, prenez à droite, la rue Sous-les-Murs. Elle est dépourvue de trottoirs et il convient d’être prudent.

Au niveau de l’aire de stationnement, vous bénéficiez d’un point de vue sur le clocher de l’abbatiale.

Empruntez, sur votre gauche, la rue du Couvent puis rejoignez à droite, le chevet gothique de l’abbatiale en traversant la rue de l’Abbaye.
Puis continuez sur votre gauche jusqu’à l’esplanade plantée d’arbres du domaine de Portabéraud que nous vous invitons à découvrir.

De 1929. Pour cet édifice public, la fantaisie n'a pas été oubliée ; l'architecte clermontois Ernest Pincot a ainsi doté le bâtiment d'une inattendue tourelle d'angle et a joué avec les matériaux, les textures et les couleurs.

Pour cet édifice public, la fantaisie n'a pas été oubliée ; l'architecte clermontois Ernest Pincot a ainsi doté le bâtiment d'une inattendue tourelle d'angle et a joué avec les matériaux, les textures et les couleurs.

Partez à la découverte de ce site clunisien prestigieux avec ses chapiteaux historiés et la châsse de saint Calmin récemment restaurée.
Fondée selon la légende au VIIème siècle par saint Calmin, elle est l'un des plus grands édifices de l'art roman auvergnat. L'abbatiale possède de remarquables chapiteaux historiés dont certains sont exposés à même le sol. La châsse de saint Calmin et sainte Namadie, en émaux champlevés, est l'un des plus beaux exemples conservé de l'émaillerie limousine.
Site clunisien classé Monument Historique. Maquette tactile.
Visites guidées de l'abbatiale le jeudi à 15h pendant les vacances scolaires et le mardi et jeudi à 17h en juillet août.
Groupes toute l'année sur rendez-vous.

La façade étroite de cette maison de style éclectique se singularise par la diversité de ses baies, toutes de forme différente.

Vers 1900, la façade étroite de cette maison de style éclectique se singularise par la diversité de ses baies, toutes de forme différente.

Vers 1910, de style Art Nouveau, la façade en brique et pierre de la "Villa Hermosa" est embellie par un décor fait d'éléments sculptés dans la pierre, de motifs en terre cuite, de céramiques vernissées et de garde-corps en fonte.