Circuits de Mairie d'Anzat-le-Luguet
Données
: 40Fournisseur
: Mairie d'Anzat-le-LuguetDescription:
Jeu de données créé à partir des circuits de Mairie d'Anzat-le-LuguetLe col de la Vazèze
Joli tour par les estives.
PLAN IGN
OPEN STREET MAP
Point de départ
L'Eglise d'Anzat-le-Luguet
La nef a été construite au 12 éme siècle.
Le chœur est du 14 éme siècle.
Elle est connue pour les 5 crânes encastrés dans un pilier de la nef (face à la porte d’entrée).
Clôture de chœur (grille de communion) du milieu du moyen âge en fer forgé.
Heurtoir en fer de la porte d’entrée du 16 éme siècle.
Four à pain d'Apcher
Quelques fours à pain bâtis en pierre du pays, couverts de lauze sont encore visibles dans la commune d’Anzat le Luguet. Au 19ème siècle les fours à pain se multiplient dans les compagnes. Fours collectifs ou individuels dans des fermes en forme de dôme.
La cascade d'Apcher
Surplombant la route, la cascade d'Apcher se situe à 500 mètres après le village d'Apcher (commune d'Anzat le Luguet) en prenant la direction d'Allanche. Uniquement visible depuis la route (chemins privés).
En contrebas, vous découvrirez un moulin du 18ème siècle restauré avec passion. Au cours d’une visite vous découvrirez comment on passe du grain de seigle à la farine grâce aux différentes meules et à divers mécanismes. Vous verrez et marcherez sur la roue à augets de 4m de diamètre entraînée par l’eau de la cascade d’Apcher.
Le moulin du Sault
Moulin du 18ème siècle restauré avec passion. Au cours d’une visite vous découvrirez comment on passe du grain de seigle à la farine grâce aux différentes meules et à divers mécanismes. Vous verrez et marcherez sur la roue à augets de 4m de diamètre entraînée par l’eau de la cascade d’Apcher.
Monument du maquis-relais du Bosberty
La répression allemande contre le maquis s’accentuant et l’espoir d’un débarquement proche, les responsables régionaux de la Résistance intérieure, Ingrand et Coulandon décidaient, au printemps 1944, d’appeler à la mobilisation générale des maquisards auvergnats et de rejoindre les réduits du Mont Mouchet et de la Truyère déjà crées. Plus de 3 000 volontaires, en avril et
mai 44 sont passés par le maquis relais de Vins-Haut-Bosberty, étape de
transition avant l’arrivée aux différents réduits du Cantal et les combats
contre l’ennemi qui les attendaient.
La cascade de la Vazèze
Elle est située entre les hameaux de la Vazèze et de Vins-Hauts à la limite du Cantal et du Puy-de-Dôme. Cette modeste chute sur le ruisseau de Vins-Haut est visible de la départementale D 23 (Allanche/Anzat-le-Luguet).
Buron de Vins-Haut
Habitats temporaires d’altitude durant l’estive.
Dans la commune, il reste encore quelques burons sectionaux en bon état.
Le cadastre Napoléonien fait remarquer qu’ils étaient groupés dans la montagne, formant ainsi des « villages de tras ou burons ».
L’inventaire des burons du Cézallier de 1989 par les architectes Magentiès et Trink a relevé des dates inscrites sur les burons (de 1782 à 1947).
Il existe aussi des trous au milieu des herbages, certains de ces trous peuvent avoir été de simples abris que les bergers construisaient pour se protéger du vent et des intempéries.
Autour des burons on remarque aussi parfois des creux. Ce sont des ancêtres de burons. Les paysans creusaient dans le sol un trou autour duquel ils édifiaient des murs de mottes gazonnées, quelques piquets de bois pour former une charpente qu’ils recouvraient le plus souvent de mottes d’herbe.
Liée à la fabrication et à la conservation du fromage, la construction d’un buron était soumise à des contraintes difficiles à concilier entre elles : l’humidité, la fraîcheur et l’obscurité. Robustes, les burons sont pourtant sujets à de nombreux dommages dus aux rudes conditions climatiques sur le Cézallier, mais surtout depuis la dernière moitié du XXème siècle à leur délaissement de la part de leurs propriétaires. Des dizaines de bâtiments ont ainsi disparu du paysage du Cézallier.
Buron de la Vazèze
Habitats temporaires d’altitude durant l’estive.
Dans la commune, il reste encore quelques burons sectionaux en bon état.
Le cadastre Napoléonien fait remarquer qu’ils étaient groupés dans la montagne, formant ainsi des « villages de tras ou burons ».
L’inventaire des burons du Cézallier de 1989 par les architectes Magentiès et Trink a relevé des dates inscrites sur les burons (de 1782 à 1947).
Il existe aussi des trous au milieu des herbages, certains de ces trous peuvent avoir été de simples abris que les bergers construisaient pour se protéger du vent et des intempéries.
Autour des burons on remarque aussi parfois des creux. Ce sont des ancêtres de burons. Les paysans creusaient dans le sol un trou autour duquel ils édifiaient des murs de mottes gazonnées, quelques piquets de bois pour former une charpente qu’ils recouvraient le plus souvent de mottes d’herbe.
Liée à la fabrication et à la conservation du fromage, la construction d’un buron était soumise à des contraintes difficiles à concilier entre elles : l’humidité, la fraîcheur et l’obscurité. Robustes, les burons sont pourtant sujets à de nombreux dommages dus aux rudes conditions climatiques sur le Cézallier, mais surtout depuis la dernière moitié du XXème siècle à leur délaissement de la part de leurs propriétaires. Des dizaines de bâtiments ont ainsi disparu du paysage du Cézallier.
Buron de Bosberty
Habitats temporaires d’altitude durant l’estive.
Dans la commune, il reste encore quelques burons sectionaux en bon état.
Le cadastre Napoléonien fait remarquer qu’ils étaient groupés dans la montagne, formant ainsi des « villages de tras ou burons ».
L’inventaire des burons du Cézallier de 1989 par les architectes Magentiès et Trink a relevé des dates inscrites sur les burons (de 1782 à 1947).
Il existe aussi des trous au milieu des herbages, certains de ces trous peuvent avoir été de simples abris que les bergers construisaient pour se protéger du vent et des intempéries.
Autour des burons on remarque aussi parfois des creux. Ce sont des ancêtres de burons. Les paysans creusaient dans le sol un trou autour duquel ils édifiaient des murs de mottes gazonnées, quelques piquets de bois pour former une charpente qu’ils recouvraient le plus souvent de mottes d’herbe.
Liée à la fabrication et à la conservation du fromage, la construction d’un buron était soumise à des contraintes difficiles à concilier entre elles : l’humidité, la fraîcheur et l’obscurité. Robustes, les burons sont pourtant sujets à de nombreux dommages dus aux rudes conditions climatiques sur le Cézallier, mais surtout depuis la dernière moitié du XXème siècle à leur délaissement de la part de leurs propriétaires. Des dizaines de bâtiments ont ainsi disparu du paysage du Cézallier.
La mine d'argent et d'arsenic du Bosberty
Dans le premier tiers du XIXe siècle, une fièvre minière s’est emparée de la région du Cézallier et des vallées qui le traversent ou l'enserrent. Le filon de la Forge comprend de la stibine, assez abondante, massive ou en agrégats fibreux. Il fut découvert en 1814 par Jean d'Auzat Bertier à qui la concession des mines d'Anzat le Luguet fut accordée le 10 janvier 1821 par ordonnance royale. Les fils Bertier vendirent leur mine d'antimoine en mars 1836 à deux associés qui l'exploitèrent jusqu'en novembre 1847. Ils ont également cédé la concession située quelques kilomètres au sud-ouest et qui deviendra la Mine d'argent et d'arsenic du Bosberty, le long du même ruisseau.
Entre 1848 et 1905, la mine changea 4 fois de main, avec des périodes d'arrêt assez longues et en mai 1905, la concession devient la propriété de la société franco-italienne SAMFA2.
L'exploitation du filon de la forge démarre en 1907 avec un effectif de 11 mineurs de fond et 3 au jour 4. Deux filons furent travaillés : la mine-vieille et la mine de la Forge, dans ce qui fait partie d'un ensemble de minéralisations du métamorphisme mésozonal hercynien : micaschistes et gneiss, gneiss leptyniques et orthogneiss, gneiss anatectiques. Ces roches issues d'un magma profond4, sont généralement considérées comme dérivant d'une ancienne série volcano-sédimentaire d'âge cambro-ordovicien (500 millions d'années) et sont "remontées" à la surface à la suite de phénomènes de subduction.
63420 ANZAT-LE-LUGUET