Points d'intérêt de Mairie d'Anzat-le-Luguet
Données
: 27Fournisseur
: Mairie d'Anzat-le-LuguetDescription:
Jeu de données créé à partir des points d'intérêt de Mairie d'Anzat-le-LuguetPLAN IGN
OPEN STREET MAP
Buron de Barbesèche
Habitats temporaires d’altitude durant l’estive.
Dans la commune, il reste encore quelques burons sectionaux en bon état.
Le cadastre Napoléonien fait remarquer qu’ils étaient groupés dans la montagne, formant ainsi des « villages de tras ou burons ».
L’inventaire des burons du Cézallier de 1989 par les architectes Magentiès et Trink a relevé des dates inscrites sur les burons (de 1782 à 1947).
Il existe aussi des trous au milieu des herbages, certains de ces trous peuvent avoir été de simples abris que les bergers construisaient pour se protéger du vent et des intempéries.
Autour des burons on remarque aussi parfois des creux. Ce sont des ancêtres de burons. Les paysans creusaient dans le sol un trou autour duquel ils édifiaient des murs de mottes gazonnées, quelques piquets de bois pour former une charpente qu’ils recouvraient le plus souvent de mottes d’herbe.
Liée à la fabrication et à la conservation du fromage, la construction d’un buron était soumise à des contraintes difficiles à concilier entre elles : l’humidité, la fraîcheur et l’obscurité. Robustes, les burons sont pourtant sujets à de nombreux dommages dus aux rudes conditions climatiques sur le Cézallier, mais surtout depuis la dernière moitié du XXème siècle à leur délaissement de la part de leurs propriétaires. Des dizaines de bâtiments ont ainsi disparu du paysage du Cézallier.
Les Tracs d'Apcher
Les tracs ou tras, sont des ensembles de trous creusés il y a très longtemps par les bergers pour se protéger du vent et des intempéries. En quelque sorte, des anciennes habitations. C'est l'ancêtre du buron ! Vous pourrez les retrouver notamment à Apcher lors d'une randonnée ou d'une petite balade.
La cascade d'Apcher
Surplombant la route, la cascade d'Apcher se situe à 500 mètres après le village d'Apcher (commune d'Anzat le Luguet) en prenant la direction d'Allanche. Uniquement visible depuis la route (chemins privés).
En contrebas, vous découvrirez un moulin du 18ème siècle restauré avec passion. Au cours d’une visite vous découvrirez comment on passe du grain de seigle à la farine grâce aux différentes meules et à divers mécanismes. Vous verrez et marcherez sur la roue à augets de 4m de diamètre entraînée par l’eau de la cascade d’Apcher.
Le moulin du Sault
Moulin du 18ème siècle restauré avec passion. Au cours d’une visite vous découvrirez comment on passe du grain de seigle à la farine grâce aux différentes meules et à divers mécanismes. Vous verrez et marcherez sur la roue à augets de 4m de diamètre entraînée par l’eau de la cascade d’Apcher.
Le signal du Luguet
Le Cézallier , stratovolcan actif il y a 5 millions d’années ;
D’une altitude de 1551 mètres, il a été fortement travaillé pendant les glaciations par l’érosion des glaciers, aplani puis transformé en un paysage doux de sommets arrondis verdoyants, de longues collines et croupes de montagne.
Le sommet couronné de bois offre un immense panorama sur les Monts Dore, les Monts du Sancy, le Cantal et la Margeride : des pâturages étendus avec quelques petits hameaux et burons dominent sa physionomie.
Four à pain d'Apcher
Quelques fours à pain bâtis en pierre du pays, couverts de lauze sont encore visibles dans la commune d’Anzat le Luguet. Au 19ème siècle les fours à pain se multiplient dans les compagnes. Fours collectifs ou individuels dans des fermes en forme de dôme.
Buron de Vins-Haut
Habitats temporaires d’altitude durant l’estive.
Dans la commune, il reste encore quelques burons sectionaux en bon état.
Le cadastre Napoléonien fait remarquer qu’ils étaient groupés dans la montagne, formant ainsi des « villages de tras ou burons ».
L’inventaire des burons du Cézallier de 1989 par les architectes Magentiès et Trink a relevé des dates inscrites sur les burons (de 1782 à 1947).
Il existe aussi des trous au milieu des herbages, certains de ces trous peuvent avoir été de simples abris que les bergers construisaient pour se protéger du vent et des intempéries.
Autour des burons on remarque aussi parfois des creux. Ce sont des ancêtres de burons. Les paysans creusaient dans le sol un trou autour duquel ils édifiaient des murs de mottes gazonnées, quelques piquets de bois pour former une charpente qu’ils recouvraient le plus souvent de mottes d’herbe.
Liée à la fabrication et à la conservation du fromage, la construction d’un buron était soumise à des contraintes difficiles à concilier entre elles : l’humidité, la fraîcheur et l’obscurité. Robustes, les burons sont pourtant sujets à de nombreux dommages dus aux rudes conditions climatiques sur le Cézallier, mais surtout depuis la dernière moitié du XXème siècle à leur délaissement de la part de leurs propriétaires. Des dizaines de bâtiments ont ainsi disparu du paysage du Cézallier.
Buron d'Artout
Habitats temporaires d’altitude durant l’estive.
Dans la commune, il reste encore quelques burons sectionaux en bon état.
Le cadastre Napoléonien fait remarquer qu’ils étaient groupés dans la montagne, formant ainsi des « villages de tras ou burons ».
L’inventaire des burons du Cézallier de 1989 par les architectes Magentiès et Trink a relevé des dates inscrites sur les burons (de 1782 à 1947).
Il existe aussi des trous au milieu des herbages, certains de ces trous peuvent avoir été de simples abris que les bergers construisaient pour se protéger du vent et des intempéries.
Autour des burons on remarque aussi parfois des creux. Ce sont des ancêtres de burons. Les paysans creusaient dans le sol un trou autour duquel ils édifiaient des murs de mottes gazonnées, quelques piquets de bois pour former une charpente qu’ils recouvraient le plus souvent de mottes d’herbe.
Liée à la fabrication et à la conservation du fromage, la construction d’un buron était soumise à des contraintes difficiles à concilier entre elles : l’humidité, la fraîcheur et l’obscurité. Robustes, les burons sont pourtant sujets à de nombreux dommages dus aux rudes conditions climatiques sur le Cézallier, mais surtout depuis la dernière moitié du XXème siècle à leur délaissement de la part de leurs propriétaires. Des dizaines de bâtiments ont ainsi disparu du paysage du Cézallier.